La Sultane #76 | Page 8

À ma mère ... À mes mamans . À ma fratrie . À mes parents , À mon ami le plus cher . À mon mentor et à feu mon père . À mon amour , à mon mari , mon amant . À mon épouse . À mon cœur . À mon enfant . À l ’ étranger que je croise dans la rue . Au sourire désintéressé , édenté et nu . À la bonté d ’ un regard qui s ’ accroche au mien . À la douceur d ’ un soupir échangé le matin . À l ’ écoute attentive qui cueille mes mots et aux cœurs généreux qui apaisent mes maux . À la vie qui s ’ éveille au lever du soleil . À la tendresse qui naît avec chaque aube vermeille , À l ’ astre du jour qui caresse mes yeux et nourrit nos corps d ’ un amour généreux ... d ’ un amour langoureux . Au bonheur d ’ être aimée et d ’ aimer pour l ’ amour . Aux dons partagés sans rien attendre en retour . Aux luttes contre les guerres , aux victoires pour la paix . Aux tempêtes qui font rage . Aux barricades dressées . Au temps écoulé . Aux beautés fanées , Aux histoires finies et aux gloires oubliées . Au foyer que j ’ ai quitté . À mon poing fermé , à ma main levée , à mes mâchoires serrées , à mon souffle coupé , à mon ventre noué , À mon cœur qui bat , à mes pensées qui tournoient . Excelsior !

EDITO

Le palais murmure

À ma mère ... À mes mamans . À ma fratrie . À mes parents , À mon ami le plus cher . À mon mentor et à feu mon père . À mon amour , à mon mari , mon amant . À mon épouse . À mon cœur . À mon enfant . À l ’ étranger que je croise dans la rue . Au sourire désintéressé , édenté et nu . À la bonté d ’ un regard qui s ’ accroche au mien . À la douceur d ’ un soupir échangé le matin . À l ’ écoute attentive qui cueille mes mots et aux cœurs généreux qui apaisent mes maux . À la vie qui s ’ éveille au lever du soleil . À la tendresse qui naît avec chaque aube vermeille , À l ’ astre du jour qui caresse mes yeux et nourrit nos corps d ’ un amour généreux ... d ’ un amour langoureux . Au bonheur d ’ être aimée et d ’ aimer pour l ’ amour . Aux dons partagés sans rien attendre en retour . Aux luttes contre les guerres , aux victoires pour la paix . Aux tempêtes qui font rage . Aux barricades dressées . Au temps écoulé . Aux beautés fanées , Aux histoires finies et aux gloires oubliées . Au foyer que j ’ ai quitté . À mon poing fermé , à ma main levée , à mes mâchoires serrées , à mon souffle coupé , à mon ventre noué , À mon cœur qui bat , à mes pensées qui tournoient . Excelsior !
LASULTANEMAG . COM
P A G E
7

Houda Chouk

NUMÉRO # 76